mardi 18 janvier 2011

Hier, j'ai trouvé par hasard un blog qui me plaît

Dessus il y avait ceci :

Un mot pour un autre

L'autre jour, mon ami Philippe m'a dit:

«Je me sens tout périmé. Complètement à côté de mes bombes.
Une fois n'est pas bitume, le pèlerin m'a prescrit des anxiomythiques.
Il pense que c'est la brise de la quarantaine.
Que c'est pour ça que je fais une répression morveuse.
La nuit, je n'arrive pas à chérir, je fais des trous noirs, je pense au calé, je pense à ma scie. Je me dis que si j'étais à refaire, je me vendrais tout autrement.»

Ça m'a plu et j'ai voulu jouer avec.
J'ai envoyé, en réponse, ceci :


Et alors, pourquoi à moi, l'ami Philippe, il a dit :
« Je me sens tout périnée. Complètement la tête dans le cul.
Une fois n’est pas couture, le gastropode m’a dit : faut suturer !
Il pense que c’est l’abus de morts subites gravelé par les cuisses de gargouilles.
Que c’est pour ça que je fais des reflux sulfuriques par voies non navigables.
La nuit, je n’arrive pas à lisoter, le jour j’ai des présences sataniques et toujours, je pense au futur, à mes étoiles, à mes noces dragées.
Je me dis que si j’allais à revers, les poils de l’adultère me repousseraient là où Satan va pas. »



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire